← Car ces étoffes légères et ces couleurs tendres donnaient à la femme—dans la grande chaleur des salons d'alors fermés de portières et desquels ce que les romanciers mondains de l'époque trouvaient à dire de plus élégant, c'est qu'ils étaient «douillettement capitonnés»—le même air frileux qu'aux roses, qui pouvaient y rester à côté d'elle, malgré l'hiver, dans l'incarnat de leur nudité, comme au printemps. 🔊✎