pâte

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Il vient si vite le moment l'on n'a plus rien à attendre, le corps est figé dans une immobilité qui ne promet plus de surprises, l'on perd toute espérance en voyant, comme aux arbres en plein été des feuilles déjà mortes, autour de visages encore jeunes des cheveux qui tombent ou blanchissent, il est si court, ce matin radieux, qu'on en vient à n'aimer que les très jeunes filles, celles chez qui la chair comme une pâte précieuse travaille encore. 🔊

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