Stahl

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Le «jardin d'hiver» que dans ces années-là le passant apercevait d'ordinaire, quelle que fût la rue, si l'appartement n'était pas à un niveau trop élevé au-dessus du trottoir, ne se voit plus que dans les héliogravures des livres d'étrennes de P.-J. Stahl , en contraste avec les rares ornements floraux des salons Louis XVI d'aujourd'huiune rose ou un iris du Japon dans un vase de cristal à long col qui ne pourrait pas contenir une fleur de plusil semble, à cause de la profusion des plantes d'appartement qu'on avait alors, et du manque absolu de stylisation dans leur arrangement, avoir , chez les maîtresses de maison, répondre plutôt à quelque vivante et délicieuse passion pour la botanique qu'à un froid souci de morte décoration. 🔊

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