← Dis, Boudousse, qu'est-ce qu'on va se payer comme gueuleton tous les trois, pour fêter ça ! 🔊✎
← Alors, aie pitié de moi, vis. Le cadavre de ton frère qui pourrit sous mes fenêtres, c'est assez payé pour que l'ordre règne dans Thèbes. 🔊✎
← Mon fils t'aime. Ne m'oblige pas à payer avec toi encore. J'ai assez payé. 🔊✎
← Non. Vous avez dit « oui ». Vous ne vous arrêterez jamais de payer maintenant ! 🔊✎
← Crois-tu, alors, qu'on a le temps de faire le raffiné, de savoir s'il faut dire « oui » ou « non », de se demander s'il ne faudra pas payer trop cher un jour, et si on pourra encore être un homme après ? On prend le bout de bois, on redresse devant la montagne d'eau, on gueule un ordre et on tire dans le tas, sur le premier qui s'avance. Dans le tas ! Cela n'a pas de nom. 🔊✎