← GARCIN, seul. Il va au bronze et le flatte de la main. Il s'assied. Il se relève. Il va à la sonnette et appuie sur le bouton. La sonnette ne sonne pas. Il essaie deux ou trois fois. Mais en vain. Il va alors à la porte et tente de l'ouvrir. Elle résiste. Il appelle. ✎
← Pas de réponse. Il fait pleuvoir une grêle de coups de poing sur la porte en appelant le garçon. Puis il se calme subitement et va se rasseoir. A ce moment la porte s'ouvre et INÈS entre, suivie du GARÇON. ✎
← S'il faut absolument nommer cet ... état de choses, je propose qu'on nous appelle des absents, ce sera plus correct. Vous êtes absent depuis longtemps ? 🔊✎
← ESTELLE, gênée, se tourne vers GARCIN comme pour l'appeler à l'aide. ✎
← Eh bien, j'étais ce qu'ils appellent, là-bas, une femme damnée. Déjà damnée, n'est-ce pas. 🔊✎
← Un petit niais. Il m'appelait son eau vive. Il m'aimait. Elle l'a emmené au dancing. 🔊✎
← Ha ? A moi ? Eh bien, lequel de vous deux oserait m'appeler son eau vive ? On ne vous trompe pas, vous autres, vous savez que je suis une ordure. 🔊✎
← Garde-le à présent. Ce ne sont pas ses longs cils ni ses airs de fille que je te disputerai. Ha ! il m'appelait son eau vive, son cristal. Eh bien, le cristal est en miettes. 🔊✎