← Je ... Je pense qu'à la longue on doit s'habituer aux meubles. 🔊✎
← C'est une méprise tout à fait amusante. Le bourreau, vraiment ? Vous êtes entrée, vous m'avez regardé et vous avez pensé : c'est le bourreau. Quelle extravagance ! 🔊✎
← Je vous regarde tous deux et je pense que nous allons demeurer ensemble ... Je m'attendais à retrouver des amis, de la famille. 🔊✎
← Est-ce que vous ne pouviez pas vous taire ? A présent, c'est fini, il ne parle plus, ce qu'il pense de moi est rentré dans sa tête. 🔊✎
← Pense à moi, Pierre, ne pense qu'à moi, défends-moi ; tant que tu penses : mon eau vive, ma chère eau vive, je ne suis ici qu'à moitié, je ne suis qu'à moitié coupable, je suis eau vive là-bas, près de toi. 🔊✎
← A la fin j'ai pensé : c'est ma mort qui décidera ; si je meurs proprement, j'aurai prouvé que je ne suis pas un lâche ... 🔊✎
← Vous avez de la chance vous deux ; personne ne pense plus à vous sur la terre. Moi, j'ai la vie plus dure. 🔊✎
← Laisse ta main ; laisse-la, ne bouge pas. Ils vont mourir un à un : qu'importe ce qu'ils pensent. Oublie-les. Il n'y a plus que moi. 🔊✎
← Inès, nous voilà seuls : il n'y a plus que vous deux pour penser à moi. Elle ne compte pas. Mais toi, toi qui me hais, si tu me crois, tu me sauves. 🔊✎
← Tu es un lâche, Garcin, un lâche parce que je le veux. Je le veux, tu entends, je le veux ! Et pourtant, vois comme je suis faible, un souffle ; je ne suis rien que le regard qui te voit, que cette pensée incolore qui te pense. 🔊✎