← il entre et regarde autour de lui. ✎
← C'est une méprise tout à fait amusante. Le bourreau, vraiment ? Vous êtes entrée, vous m'avez regardé et vous avez pensé : c'est le bourreau. Quelle extravagance ! 🔊✎
← Un silence. GARCIN va se rasseoir. INÈS reprend sa marche. GARCIN a un tic de la bouche, puis, après un regard à INÈS, il enfouit son visage dans ses mains. Entrent ESTELLE et LE GARÇON. ✎
← Elle est venue à la caserne comme tous les jours ; on ne l'a pas laissée entrer. 🔊✎
← Aussi bien que tout à l'heure, quand je suis entrée ? 🔊✎
← Tu le sais fort bien. Celui dont tu avais peur, quand tu es entrée. 🔊✎
← Ils l'ont louée. Les fenêtres sont grandes ouvertes, un homme est assis sur mon lit. Ils l'ont louée ! ils l'ont louée ! Entrez, entrez, ne vous gênez pas. 🔊✎
← Allais-je entrer chez le général et lui dire : « Mon général, je ne pars pas » ? Quelle sottise ! Ils m'auraient coffré. Je voulais témoigner, moi, témoigner ! Je ne voulais pas qu'ils étouffent ma voix. 🔊✎
← Allons, tout va bien : la guerre est finie, ma femme est morte et je suis entré dans l'histoire. 🔊✎