← —«Vous n’êtes pas bien là, allez donc vous mettre à côté d’Odette, n’est-ce pas Odette, vous ferez bien une place à M. Swann?» 🔊✎
← —«As-tu vu la tête qu’il a fait quand il s’est aperçu qu’elle n’était pas là? dit M. Verdurin à sa femme, je crois qu’on peut dire qu’il est pincé!» 🔊✎
← C’est là que j’aurai de plus en plus mes habitudes et ma vie.» 🔊✎
← —«Elle n’a pas dû être mal, Mme Verdurin, et puis c’est une femme avec qui on peut causer, pour moi tout est là. 🔊✎
← S’il n’y en avait pas là, les Verdurin prenaient une grande peine pour en faire descendre un d’une chambre ou d’une salle à manger: ce n’est pas que Swann fût rentré en faveur auprès d’eux, au contraire. 🔊✎
← Mais non, elle devinerait bien que c’était pour elle qu’il était là. 🔊✎
← Il arrivait encore parfois, quand, ayant rencontré Swann, elle voyait s’approcher d’elle quelqu’un qu’il ne connaissait pas, qu’il pût remarquer sur le visage d’Odette cette tristesse qu’elle avait eue le jour où il était venu pour la voir pendant que Forcheville était là. 🔊✎
← Elle ne savait pas que sa cousine fût là. 🔊✎
← —Mais non, cet amour de Charles, je ne savais pas qu’il fût là, je vais tâcher qu’il me voie. 🔊✎
← A propos de tout, si on voyait un tableau par exemple elle disait: «Ah! s’il était là, c’est lui qui saurait vous dire si c’est authentique ou non. Il n’y a personne comme lui pour ça.» Et à tout moment elle demandait: «Qu’est-ce qu’il peut faire en ce moment? Si seulement il travaillait un peu! 🔊✎