← Quand M. Verdurin me faisait l’honneur d’être jaloux de moi—allons, sois poli au moins, ne dis pas que tu ne l’as jamais été...—» 🔊✎
← —«As-tu vu la tête qu’il a fait quand il s’est aperçu qu’elle n’était pas là? dit M. Verdurin à sa femme, je crois qu’on peut dire qu’il est pincé!» 🔊✎
← —«Ta, ta, ta, dit M. Verdurin, qu’est-ce que tu en sais qu’il n’y a rien, nous n’avons pas été y voir, n’est-ce pas.» 🔊✎
← La première fois qu’elle lui en vit un dans l’œil, elle ne put contenir sa joie: «Je trouve que pour un homme, il n’y a pas à dire, ça a beaucoup de chic! Comme tu es bien ainsi! tu as l’air d’un vrai gentleman. 🔊✎
← Et toi, qu’est-ce que tu as à rester comme cela, bouche bée comme une grande bête? dit-elle à son mari. Tu sais pourtant qu’il parle bien; on dirait que c’est la première fois qu’il vous entend. Si vous l’aviez vu pendant que vous parliez, il vous buvait. 🔊✎
← Tu te souviens de l’idée que j’avais eue à propos de toi et de Mme Verdurin? 🔊✎
← —Que veux-tu? cela ne fait rien, mais c’est malheureux que tu ne puisses pas me dire le nom. De pouvoir me représenter la personne, cela m’empêcherait de plus jamais y penser. 🔊✎
← Je te remercie de tout mon cœur de tout le bien que tu m’as fait. 🔊✎
← Comment, tu le connaissais déjà? Ah! oui, c’est vrai, dit-il en se reprenant pour ne pas paraître l’avoir ignoré.» Et tout d’un coup il se mit à trembler à la pensée que le jour de cette fête de Paris-Murcie où il avait reçu d’elle la lettre qu’il avait si précieusement gardée, elle déjeunait peut-être avec Forcheville à la Maison d’Or. 🔊✎
← Une toute jeune et ravissante lui dit un jour: «Ce que je voudrais, c’est trouver un ami, alors il pourrait être sûr, je n’irais plus jamais avec personne.»—«Vraiment, crois-tu que ce soit possible qu’une femme soit touchée qu’on l’aime, ne vous trompe jamais?» lui demanda Swann anxieusement. « 🔊✎