← Vous avez dû souffrir par une femme. Et vous croyez que les autres sont comme elle. Elle n’a pas su vous comprendre; vous êtes un être si à part. 🔊✎
← C’est cela que j’ai aimé d’abord en vous, j’ai bien senti que vous n’étiez pas comme tout le monde.»—«Et puis d’ailleurs vous aussi, lui avait-il dit, je sais bien ce que c’est que les femmes, vous devez avoir des tas d’occupations, être peu libre.»—«Moi, je n’ai jamais rien à faire! Je suis toujours libre, je le serai toujours pour vous. 🔊✎
← —«C’est une si excellente femme, répondit-il. 🔊✎
← —«As-tu vu la tête qu’il a fait quand il s’est aperçu qu’elle n’était pas là? dit M. Verdurin à sa femme, je crois qu’on peut dire qu’il est pincé!» 🔊✎
← —«La tête qu’il a fait?» demanda avec violence le docteur Cottard qui, étant allé un instant voir un malade, revenait chercher sa femme et ne savait pas de qui on parlait. 🔊✎
← Eux s’étonnaient, et de fait, Swann n’était plus le même. On ne recevait plus jamais de lettre de lui où il demandât à connaître une femme. 🔊✎
← —«Elle n’a pas dû être mal, Mme Verdurin, et puis c’est une femme avec qui on peut causer, pour moi tout est là. 🔊✎
← Certes, eût-elle été la plus scrupuleuse des femmes qu’elle n’aurait pu avoir de remords d’un mensonge aussi innocent. 🔊✎
← Il pouvait peut-être la préserver d’une certaine femme mais il y en avait des centaines d’autres et il comprit quelle folie avait passé sur lui quand il avait le soir où il n’avait pas trouvé Odette chez les Verdurin, commencé de désirer la possession, toujours impossible, d’un autre être. 🔊✎
← Le Prince le disait, l’autre jour, c’est bien mieux ici que chez sa femme. 🔊✎